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 when we kissed I could see our hearts beating (thalya)

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MessageSujet: when we kissed I could see our hearts beating (thalya)   when we kissed I could see our hearts beating (thalya) I_icon_minitimeJeu 4 Oct - 1:33



when we kissed I could see our hearts beating feat thalya oxana-a. wensel

Les doigts de Herman se relâchèrent, libérant de leur emprise un petit bout de papier qui tomba directement dans l'assiette remplie à ras bord d'une demoiselle brune à l'air angélique qui portait le costume officiel des lions. Affichant un petit sourire satisfait, le jeune Serdaigle toussota légèrement, haussant le ton de sa voix pour se faire entendre de toute la table des Gryffondor. « Eh bien, eh bien. On mange bien à la cantine, Thalya. Tu paies un forfait pour manger deux fois plus que les autres ? » Si quelques pouffiasses rirent dans leurs barbes naissantes, la majorité des gens assis à la table affichèrent un air offusqué sur le visage. Herman serra les dents, retenant quelques insultes envers celles qui osaient rire de sa blague douteuse et particulièrement cruelle envers Thalya. Si lui se permettait d'aligner quelques vannes foireuses à l'encontre de son ex petite-amie, c'était tout a fait son droit, pas le leur. Les Gryffondor possédaient ce petit côté téméraire et supérieur qui l'énervait au plus haut point. Et ça se disait rois de la tolérance ! Rois des vantards, ouais. Si Serpentard prenait particulièrement cher niveau réputation, les lions n'étaient pas très loin derrière. Soupirant toute sa frustration, Herman marcha lentement en direction des portes de la grande salle, sa main fermement agrippée à sa baguette magique -sait-on jamais- et les sens en alerte. Cependant, sans doute trop lâches pour répliquer, les lions restèrent tranquillement assis à leur table, en train de se goinfrer comme des porcs. Un midi comme un autre, disons. Les pas du garçon le portèrent devant la porte menant au parc et il dévala en sautillant les marches de l'escalier. Le vent frais caressa son visage et il gémit sous ce contact bienfaiteur. Dans la grande salle, la chaleur l’étouffait, tant de corps en sueur miroitant sous les chandelles trop chaleureuses à son gout. Et pourtant, il l'aimait cette ambiance festive et tous ces visages heureux, tournés en direction des plats s'étalant dessus les énormes tables. Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui, il avait besoin de calme, d'air pur, d'espace réduit et de Thalya. Sans elle, cette journée promettait d'être longue. Très longue.

« Petrificus Totalus ! » Machinalement, Herman s'empara de sa baguette magique, la pointant distraitement sur le côté. Le sortilège du saucisson frappa une paroi magique crée de toute pièce par le jeune homme, qui afficha un sourire supérieur devant la mine déconfite des deux premières années qui posaient leurs yeux sur lui. Il haussa les épaules avant de ranger sa baguette magique. « Sortilège informulé. Vous verrez ça dans cinq ans, si je vous tue pas avant. » Il mima l'action de se jeter sur eux et observa les deux idiots courir comme des fous en direction du château, laissant tomber quelques trucs au passage. « Accio les petits trucs tombés des poches de ces débiles ! » Les objets tombèrent dans sa main et il passa quelques secondes à les étudier. Rien de bien folichon. Même pas un peu d'argent. Herman laissa retomber le bric à brac, poussant un soupir de désespoir. D'habitude, faire peur aux nouveaux calmait la tempête qui grondait dans son esprit. Mais aujourd'hui, même une lape-dance du Calmar Géant ne lui serait d'aucun secours. Non, franchement, la seule solution demeurait Thalya. Elle parvenait toujours à éteindre le feu de son âme, à taire les cris qui hurlaient à ses oreilles sourdes. Et pourtant, il la traitait comme une merde. Herman savait pertinemment que ce n'était pas un comportement digne d'un gentleman mais malheureusement, il était tout sauf ça. Depuis qu'ils n'étaient plus ensemble, il se sentait obligé de se moquer d'elle devant les autres et il n'en loupait pas une pour lui faire perdre un match de Quidditch. Alors que tout le monde les croyait en froid et ennemis, ils se voyaient régulièrement, se témoignant la seule forme d'amitié qu'ils connaissaient : l'amour. Enfin, l'amour, il fallait le dire vite. C'était quelque chose de plus sauvage, de plus animal, quelque chose qui n'appartenait qu'à eux. C'était grâce à ces parties de jambes en l'air que Herman résistait aussi bien aux pressions diverses. Parfois même, ils discutaient juste, tous les deux l'un dans les bras de l'autre. Parfois en parlant énormément, d'autres fois en dormant seulement. Herman n'était pas du genre à prendre des risques. Il se complaisait à rester dans cette relation difficile à cerner, une relation qu'il n'était certainement pas prêt à arrêter.

Ses pas se stoppèrent lorsqu'il débarqua juste devant la cabane aux balais, une cabane qui servait de repère au couple qui n'en était d'ailleurs plus un. Celle-ci n'était pas tout le temps fermée et curieusement, toujours ouverte lorsque l'on avait besoin d'elle. C'était une sorte de salle sur demande mais pour tout le monde, elle n'était qu'une vulgaire cabane à balais, remplie d'araignée et de manches très mal lustrés. Si un manche attirait toutes les attentions en ces lieux, c'était bien celui de Herman. Ce dernier rentra dans la cabane -ouverte, bien entendu- et s'installa confortablement sur un coffre en bois qu'il venait de transformer en un magnifique fauteuil en velours de couleur bleue, couleur attribuée à sa maison. Comme quoi, certains cours de métamorphose s'avéraient très utiles. Le jeune sorcier tapota avec appréhension les accoudoirs, se demandant sans cesse si Thalya allait répondre favorablement à son invitation. Il l’espérait vraiment de tout coeur. Les mots inscrits sur le petit bout de papier qu'il avait préalablement donné à la jeune femme défilèrent lentement dans sa tête. RDV à la cabane, c'est urgent. C'est important. Primordial ? Bref, viens me rejoindre, tu me manques. Désolé pour ce que je m'apprête à te dire devant tous tes potes. Il soupira. Peut-être trop insistant ? Hum. Il fallait au moins ça pour la faire venir.
code par (c) eylika. photo de we heart it.

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Thalya Oxana-A. Wensel

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MessageSujet: Re: when we kissed I could see our hearts beating (thalya)   when we kissed I could see our hearts beating (thalya) I_icon_minitimeJeu 4 Oct - 22:11

I Can Feel Your Heart Beat
Elle aurait eu la tête dans le pâté, Thalya aurait très bien pu ne pas réagir à la provocation de Herman et ne pas comprendre mais, fort heureusement pour eux, elle était très réactive en ce midi agité de la table des Gryffondor et saisit bien vite la signification de son geste à temps avant de réagir au quart de tour et en faire trop. Levant légèrement les yeux vers lui alors qu'elle parlait vivement avec sa voisine d'en face, s'apprêtant à enfourner sa cuillère de purée, elle le regarda d'un air condescendant alors que certains de ses voisins de tables chuchotaient déjà à propos du comportement déplacé du jeune Serdaigle. Deux ou trois gourdes alentour rirent aux propos d'Herman alors que d'autres s'apprêtaient à dégainer leur baguette. Ne s'offusquant pas des comportements divers et variés, elle fit tout de même mine de monter sur ses grands chevaux pour lui balancer en retour une remarque cinglante qui l'accompagnerait alors qu'il sortait de la grand salle. « La moindre des choses est de faire honneur aux plats concoctés par les elfes de maison, ce qui ne semble pas être ton cas, Fletcher. » Il lui arrivait bien souvent d'oublier qu'ils n'étaient plus ensemble et qu'ils s'étaient donné pour mission de se balancer des pics autant de fois qu'ils le pouvaient lorsqu'ils se croisaient au beau milieu de la foule de jeunes sorciers peuplant la grande Poudlard et cela l'attristait parfois. Ainsi se pressa-t-elle de finir son assiette, s'essuyer prestement la bouche et se relever, la tête haute, retirant discrètement le petit mot que son ex-petit ami avait plongé dans ses aliments qu'elle glissa ensuite dans la poche intérieure de son uniforme rouge et or. Elle savait que certains regards ne l'avait pas quittés depuis l'altercation et se contenta de leur adresser un léger sourire assuré afin qu'ils ne s'en fassent pas trop à son sujet.

Il y a quelques mois de cela, Herman et Thalya avaient mis fin à leur idylle à la plus grande stupéfaction de tous et toutes qui croyaient dorénavant que la jeune Wensel était dépressive, raison pour laquelle elle s'isolait tant de fois et ce dès qu'elle le pouvait. Les gens pouvaient bien croire ce qui leur plaisait, jamais personne ne saurait la vérité et elle ne verrait pas pourquoi les gens chercheraient à la découvrir ... Jusqu'à présent, ils avaient été discrets et leurs efforts avaient payés ! Même s'ils étaient séparés, ils ne pouvaient s'empêcher de retrouver les petites manies d'antan les poussant dans les bras l'un de l'autre lorsque rien n'allait ou que la bonne humeur les quittait. L'un pour l'autre était un remède, une dose de dopant inégalable dont ils ne pouvaient se passer. Ils restaient liés malgré leur rupture et se retrouvaient deux fois plus bestiaux qu'auparavant. Pourtant, Thalya était une jeune femme douce ... Peut-être regrettait-elle dans le fond avoir mis fin à une si belle histoire mais jamais elle ne s'imposerait une telle relation surtout si cette dernière lui portait préjudice. Elle ne pouvait se permettre de fléchir devant les beaux yeux d'Herman et avait bien des fois laissé le Souaffle passer lorsque les Gryffondor affrontaient les Serdaigle l'an dernier alors qu'ils commençaient à sortir ensemble. Herman avait toujours eu une très mauvaise influence sur sa concentration car même si la jeune Gryffondor était de nature tête en l'air, certaines personnes décuplaient ce phénomène de sorte à ce qu'elle ne perçoive que très peu la réalité lorsqu'elle était en leur compagnie. Ainsi le jeune homme en avait profité pour assurer la victoire à sa maison et cela ne faisait que recommencer ... Les futurs matches à venir seraient redoutables en partie parce qu'ils faisaient semblant de se haïr aux yeux de tous et qu'elle devrait jouer un rôle dans les airs ... Comment faire pour jouer la comédie et se concentrer sur les trois buts qu'elle protégerait au péril de sa vie ?

L'heure n'était pas à la réflexion. Nouant sa cape autour de son cou, par dessus sa robe, elle jetait un dernier regard se voulant rassurant à ses quelques amis et sortait aussi vite de leur champs de vision. Passant une main dans ses longs cheveux couleur ébène, elle quittait la grande salle bondée et descendait les marches la conduisant à l'extérieur du château, appréciant les courants d'air frais agitant les pans de sa robe de sorcier. Se faisant bousculer par deux élèves de seconde année feignant l'épouvante, elle les incendia au même instant qu'elle sortait de sa poche le petit mot du jeune Serdaigle qu'elle avait vu se diriger à l'extérieur suite à sa petite provocation publique lui faisant bien vite comprendre qu'il y avait anguille sous roche et qu'il ne faisait pas ça simplement pour le plaisir de la voir prendre la mouche. Dépliant le morceau de papier, ses yeux parcoururent rapidement l'écriture appliquée et légèrement penchée de son ex qui la conviait à leur lieu de rendez-vous habituel, s'excusant au passage de son attitude déraisonnable. Esquissant un léger sourire, elle chiffonna ce dernier et le fit brûler de la pointe de sa baguette qu'elle sortit des dessous de son uniforme pour finalement reprendre sa marche vers le terrain de Quidditch. Afin de faire peser le suspens, elle prenait son temps et faisait un détour aux abords de la forêt interdite pour finalement le rejoindre. Il se demanderait à coup sur si elle finirait par le rejoindre et le faire poireauter lui semblait de mise après qu'il se soit montré si insultant envers sa faim de Troll des montagnes. Sa marche était rapide mais aérienne et à mesure qu'elle approchait, elle se remémorait le nombre de fois incommensurables qu'elle avait parcouru ce même chemin en compagnie du dragueur invétéré qu'elle se plaisait à espionner à ses heures perdues. Étrangement, il s'était montré très correct et fidèle lorsqu'ils étaient en couple et depuis peu, elle le découvrait sous un nouveau jour ... Un nouvel Herman dont elle réprouvait l'attitude nonchalante et avenante qu'il adoptait en compagnie des jeunes donzelles gloussant au beau milieu des couloirs lorsqu'elles voyaient passer un garçon. Faisait-il ceci parce qu'elle ne comblait pas son manque ou parce que cela lui plaisait réellement de séduire ? Thalya ne comprendrait jamais l'attitude des garçons ni même celle des filles ... Elle, tout ce qui l'intéressait était le Quiddicth et parfois la médicomagie. Mais pour le moment, sa préoccupation principale était de prendre connaissance de l'urgence évoquée par Herman sur la note qu'il lui avait glissée. Lui manquait-elle vraiment ?

Soupirant, elle réajusta la capuche de sa cape sur son crâne alors qu'une légère pluie commençait à tomber et qu'elle approchait de la cabane dans laquelle il devait déjà s'être abrité depuis plusieurs minutes. Son pouls s'accélérait et elle finit par lever sa main vers la poignée après plusieurs secondes d'hésitation. Abaissant cette dernière, elle prit son temps et fit un pas à l'intérieur, foulant du plat de ses bottes le parquet poussiéreux de leur havre de paix. Lui adressant un regard accusateur, elle referma la porte derrière elle et s'adossa à cette dernière, défaisant le nœud de sa cape pour balancer cette dernière sur un manche à balai. Méfiante, elle se demandait à chaque fois qu'elle le croisait s'il était vraiment sincère dans ses propos et attendrait qu'il prendre la parole pour en être persuadée. Le ton emprunté ne trompe jamais. Ses prunelles grises se perdaient dans les billes couleurs lagons du Serdaigle confortablement installé dans un fauteuil aux couleurs de sa maison. « Tu as demandé à me voir, me voilà. » S'avançant prudemment, son visage n'affichait aucune expression. Elle ne voulait pas se faire de fausses idées quant à la nature de leur petite réunion improvisée mais s'avançait tout de même et ce jusqu'à ce qu'elle se trouve juste devant lui, le surplombant. Se courbant légèrement, ses longs doigts vinrent se poser sur les mains du jeune homme, posées sur les accoudoirs, et plissa les yeux. L'annotation "tu me manques" dansait joyeusement dans sa tête alors qu'elle se remémorait ce qu'il lui avait écrit. Se pouvait-il qu'il ait, une fois de plus, besoin de ses bras pour le calmer ?

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